Projections documentaires

Un parcours cinématographique est proposé en lien avec la programmation du Festival, l’occasion d’approfondir ses connaissances autour de figures majeures de la danse. 

En partenariat avec le Centre national de la Danse et le Cineum.  

Rens. Julie Parisse 04 92 99 33 78 – parisse@palaisdesfestivals.com 

Samedi 25 novembre

10h30 | Palais des Festivals  

FILM DOCUMENTAIRE BIRGET ; PORTRAIT D’UN PROCESSUS DE CRÉATION D’ANDREAS LEONARDSEN

2023, NORVÈGE, 30 À 40 MIN

Ce film témoigne de la rencontre entre les artistes sámi Elle Sofe Sara et Joar Nango et les artistes, techniciens et administratifs de la compagnie nationale norvégienne Carte Blanche. Il proposera d’entrer au cœur du processus de la création BIRGET et des questions soulevées par cette rencontre artistique, humaine, culturelle et politique. 

Entrée libre dans la limite des places disponibles.

JEUDI 30 novembre

21h00 | Cineum (Cannes La Bocca) 

FILM SAFETY LAST DE HAROLD LLOYD

1923, ÉTATS-UNIS, 1H13 

Harold est venu à Los Angeles pour faire fortune. Mais il stagne dans son job de petit vendeur. Il a une idée : proposer à son patron de faire de la publicité au magasin en faisant escalader la façade par un ami acrobate. Sauf que voilà : c’est lui qui va devoir s’y coller !

Tarif unique : 5 €

Samedi 2 décembre

10h30 | Palais des Festivals (Cannes)

 

FILMS DE DANSE AUTOUR DU THÈME ENTRE SUSPENSION ET GRAVITÉ

2023, 54 MIN

 

Un montage d’extraits chorégraphiques et performatifs proposé par le Centre national de la danse avec Loïe Fuller, Trisha Brown Early Works, Laura De Nercy et Bruno Dizien, Kitsou Dubois, Jann Gallois, Mourad Merzouki, Régine Chopinot, Philippe Decoufié, Iztok Kovac, Joëlle Bouvier et Régis Obadia.

S’élever sur les pointes, sauter, bondir … le danseur tente d’aller toujours plus loin, plus haut, de s’émanciper de l’attraction gravitationnelle, de chercher de nouveaux espaces à explorer entre ciel et terre. Il questionne la gravité à travers son corps et trouve d’autres manières de se mouvoir. Cela devient une source d’inventivité et d’expérimentation technique qui amène la création vers de nouvelles gestuelles.  

L’utilisation de dispositifs, qu’ils soient scéniques (miroirs, décors…) ou accessoirisés (filin, harnais…), du plus simple ou plus élaboré, transforme nos repères usuels de l’horizontalité et de la verticalité, notre rapport au sol et au vide, brouille notre compréhension de l’espace, du corps et de ses possibles. Ce rapport entre la gravité et la suspension se modifie jusqu’à disparaître.

Des univers ludiques, poétiques, étranges, voire irréels naissent alors sous nos yeux.

Entrée libre dans la limite des places disponibles 

SAMEDI 9 Décembre

10h30 | Palais des Festivals (Cannes)

 

MONSTRE MAGIQUE (2023, France, 1h30)

Avant-première – Film documentaire de Grégoire Korganow

Avec Amala Dianor et la troupe du spectacle SIGUIFIN

 

Ils sont neuf, neuf danseurs venus de différents pays d’Afrique. À Saint-Louis, sous la morsure du soleil sénégalais, ils vont apprendre à se connaître, à travailler et à imaginer ensemble une pièce de danse contemporaine qui leur ressemble. À partir de cette matière mouvante, le chorégraphe Amala Dianor, l’œil attentif et exigeant, modèle jour après jour les contours d’un spectacle intitulé « Siguifin », qui en langue bambara signifie monstre magique.

Avec le soutien de l’Onda – Office national de diffusion artistique dans le cadre du dispositif Écran vivant, du Lux Scène nationale I Arts visuels + Arts numériques, Valence, de l’Institut Français.

Entrée libre dans la limite des places disponibles